Patrimoine architectural et religieux

L'enclos paroissial

 

L’église Notre-Dame de Trémaouézan construite au XVe siècle, se trouva considérablement agrandie en 1597 par la jonction d’une chapelle appelée « La Chapelle Saint-Jean ». Le clocher, de type léonard, détruit par la foudre en 1702, fut relevé en 1714 grâce aux dons des habitants de Trémaouézan appelés alors les Tréviens.

 

Entrez sur le site web de l’APEVE (Association pour la Promotion des Enclos Paroissiaux de la Vallée de l’Élorn)

Le baptistère

Le baptistère

       À l’intérieur de l’église, on découvre 5 autels, rangés en ligne droite le long du mur oriental, un catafalque en chêne sculpté d’un modèle désormais rare, un magnifique baptistère et de nombreuses statues.
L’ossuaire, bordant l’enceinte du cimetière, de forme rectangulaire, avec pignons munis de crossettes et animaux symboliques au bas des rampants (loup, chien, dragon) date du XVIème.
Une croix-calvaire datant de 1530 se trouve entre l’ossuaire et l’église, et porte 7 statues.

Le porche de l'église

Le porche, sculpté en granite de Kersanton, une des plus belles œuvres de l’architecture Renaissance de notre région, s’élève, majestueux, sur le flanc sud de l’église.

La fontaine De Saint-Jean Baptiste

      La fontaine de Saint-Jean- Baptiste (située à 200 m de l’église), entourée d’un enclos carré de 5 mètres de côté, abrite dans une niche une statue de saint Jean-Baptiste sous laquelle une pierre en forme de tombeau d’autel, ornée d’une tête d’ange, porte la date de 1656.

Jusqu’à la Révolution, la commune était pourvue de deux fontaines : la fontaine de Saint-Jean-Baptiste et la fontaine Notre-Dame.

Cette dernière réputée pour ses pouvoirs de guérison, attirait toute l’année d’innombrables pèlerins. Mais, les autorités révolutionnaires la firent combler pour cause d’insalubrité.

Les croix

On dénombre 13 croix sur la commune. Témoignages du passé, toutes sont chargées de signification.